1,2 millions de personnes sont confrontées à la perte d’autonomie en 2012 et 7,8 % des français âgés de 60 ans ou plus sont dépendants. D’après l’INSEE, l’âge moyen d’entrée dans la dépendance est de 83 ans pour les femmes et de 78 ans pour les hommes.
Cette dépendance ne cesse d’augmenter chez les seniors, mais existe-t-il des moyens pour la retarder et y faire face ?
L’état de dépendance
La perte d’autonomie se définit comme l’incapacité pour une personne d’effectuer certains actes de la vie courante. Pour fixer le niveau de dépendance, la personne est évaluée à travers la grille AGGIR (Autonomie Gérontologique Groupe Iso-Ressources) qui définit l’état de dépendance en 6 catégories : de GIR 6 à GIR 1.
GIR1 | Personnes confinées au lit ou en fauteuil ayant perdu leur autonomie mentale, corporelle locomotrice et sociale, qui nécessitent une présence indispensable et continue d’intervenants |
GIR2 | – Personnes confinées au lit ou en fauteuil dont les fonctions mentales ne sont pas totalement altérées et qui nécessitent une prise en charge pour la plupart des activités de la vie courante – Personnes dont les fonctions mentales sont altérées mais qui ont conservé leur capacité motrice. Pour elles, le déplacement intérieur est possible mais la toilette ou l’habillage ne sont pas fait ou partiellement |
GIR3 | Personnes ayant conservé leur autonomie mentale et partiellement leur autonomie locomotrice mais qui nécessitent quotidiennement et plusieurs fois par jours des aides pour leur autonomie corporelle. |
GIR4 | Personnes qui n’assurent pas seules, leur transfert mais qui une fois levées peuvent se déplacer à l’intérieur du logement. Elles doivent être aidées pour leur toilette et l’habillage |
GIR5 | Personnes autonomes dans leur déplacement chez elles, qui s’alimentent seules et s’habillent seules. Elles peuvent nécessiter une aide ponctuelle pour la toilette, le repas ou le ménage |
GIR6 | Personnes qui ont toutes leur autonomie pour les actes de la vie quotidienne |
Retarder la dépendance
Retarder la dépendance implique des moyens et de la recherche de la part de l’ensemble des professionnels de santé, surtout les médecins généralistes et les infirmiers(ères). En effet avant de proposer des assistances et des accompagnements pour les personnes susceptibles de devenir dépendant, il faut comprendre les processus du vieillissement afin de limiter les effets négatifs.
Retarder la dépendance pour prévenir et anticiper la vie des seniors.
Prévenir la dépendance
Prévenir la dépendance, c’est prolonger l’autonomie et la vie sociale des individus.
On reconnait la perte d’autonomie par les troubles physiques (troubles de l’équilibre, perte de poids, fatigue, baisse de l’activité physique) ou psychiques (changement des habitudes alimentaires, diminution de l’hygiène, troubles de la mémoire, isolement social…). Ces signes de dépendance permettent d’alerter l’entourage et de mettre en place des mesures adaptées.
L’alimentation, le sport, l’environnement, le mode de vie et l’état de santé sont les facteurs clés pour éviter la perte d’autonomie. C’est pourquoi il est essentiel de prendre soin de soi pour préserver son indépendance.
L’assurance dépendance Family Autonomie
En prévenant la dépendance, il est possible de la retarder et de l’éviter, mais pas de la faire disparaitre totalement.
Pour améliorer la vie d’une personne en perte d’autonomie, SPB Family a créé l’assurance Family Autonomie : une assurance aux faibles cotisations avec des formules qui s’adaptent à la situation de chacun. En plus d’accompagner les personnes dépendantes, SBP Family soutient les proches dans leur rôle d’aidant.
Sources : (1) 7ème Baromètre Autonomie OCIRP
Bien vieillir c’est pouvoir continuer à prendre bien soin de soi, profitez des gens que l’on aime et partagez avec eux des moments de bonheur.
La garantie Family Autonomie, c’est l’assurance d’être entouré demain tout en restant financièrement indépendant.